La Miséricorde – Un chemin vers Pâques


Artiste : George Desvallières (1861 – 1950)

8ème station du chemin de croix – Jésus console les femmes de Jérusalem

Crédits photos : Bruno Parnaudeau

Dans sa bulle d’indiction du Jubilé de la Miséricorde en 2016, le Pape François disait : « Nous avons toujours besoin de contempler le mystère de la Miséricorde. Elle est source de joie, de sérénité et de paix. Elle est la condition de notre salut. Miséricorde est le mot qui révèle le mystère de la Sainte Trinité. La Miséricorde, c’est l’acte ultime et suprême par lequel Dieu vient à notre rencontre. La Miséricorde, c’est la foi fondamentale qui habite le cœur de chacun lorsqu’il jette un regard sincère sur le frère qu’il rencontre sur le chemin de la vie. La Miséricorde, c’est le chemin qui unit Dieu et l’homme, pour qu’il ouvre son cœur à l’espérance d’être aimé pour toujours malgré les limites de notre péché. »

Pendant les semaines qui nous mèneront à la Pentecôte, nous vous proposerons de découvrir comment les artistes ont contribué à illustrer les œuvres de Miséricorde dans notre église du Saint Esprit.

Pendant le Carême, nous verrons chaque semaine une œuvre corporelle. Ensuite, dans le temps de Pâques, nous regarderons les œuvres spirituelles.

La Miséricorde se vit sous le regard miséricordieux du Père et à l’exemple du regard miséricordieux de Jésus sur les femmes de Jérusalem, comme l’a représenté George Desvallières sur la huitième station de notre chemin de croix.

Nous pouvons méditer, en ce début de Carême, sur cette phrase de Mère Thérèsa : « Si seulement Judas avait regardé Jésus dans les yeux, comme Pierre l’a fait, Judas aurait été l’ami de la miséricorde de Dieu. »

 

Olivier