La Miséricorde – Un chemin vers Pâques
Les deux premières œuvres corporelles
Donner à manger à ceux qui ont faim
Donner à boire à ceux qui ont soif
Artiste : Robert – Albert Genicot (1890 – 1981)
Saint Louis fonde la Cité sous l’observance des vertus chrétiennes
Crédits photos : Bruno Parnaudeau
Comme nous le dit le Pape François, vivre les sept œuvres corporelles : « ce sera une façon de réveiller notre conscience souvent endormie face au drame de la pauvreté et de pénétrer toujours davantage le cœur de l’Evangile. »
Le Pape nous met aussi en garde : « Ignorer le pauvre, c’est mépriser Dieu ».
Saint Louis, comme l’illustre une partie de la fresque qui lui est consacrée (à gauche de la grande porte en entrant dans l’église), a su entendre le cri des pauvres de son temps.
Il les fait asseoir à sa table et les invite à partager son repas, tel un père nourrit ses enfants.
A ceux qui lui reprochent de dépenser ainsi trop d’argent, il répond : « Taisez-vous. Dieu m’a donné tout ce que j’ai. Ce que je dépense ainsi est bien dépensé. »
Sachons nous aussi entendre le cri des pauvres de notre temps. Dans les pauvres que nous rencontrons, c’est Jésus qui vient à notre rencontre.
Notre paroisse tente de répondre à leur cri, notamment grâce aux opérations « Goûter Solidaire » et « Hiver Solidaire ».
Olivier